Hommage au docteur André Gernez, un scientifique de génie ! Le docteur André Gernez vient de nous quitter le mercredi 8 janvier dans une indifférence presque générale sur le plan médiatique. Censuré dans tous les média institutionnels, le Dr. Gernez a publié de nombreux travaux sur le cancer, le sida, la schizophrénie, la myopathie, la maladie d’Alzheimer et de Parkinson, le psoriasis, l’asthme, l’allergie et la sclérose en plaques. Ce scientifique de génie, qui dès ses premières années d’étude de médecine, pointe du doigt quelques contradictions majeures dans les postulats fondamentaux de la biologie ne cessera jamais de les revendiquer durant toute sa carrière. Les distinctions, André Gernez en a reçu de très éminentes comme celle remise à Salzbourg en 1979 par Linus Pauling, double prix Nobel (chimie et paix), président d’honneur de l’Union mondiale pour la protection de la vie qui regroupe 400 savants de 53 pays, dont 40 prix Nobel. Cette médaille venait couronner ses travaux sur la théorie unifiée du cancer. Bachelier à 14 ans par dérogation ministérielle, médecin militaire à 21, André Gernez a été chercheur à la Fondation Curie à Paris qui l’a envoyé dans trois des plus grands centres de recherche du monde (Royaume-Uni, Suède, Etats-Unis). Toute sa vie, il s’est distingué par son intelligence rare, sa force de travail, sa droiture, son indépendance et son dévouement pour faire progresser la recherche médicale. Lorsqu’ont été publiés en 1967 les résultats de ses travaux révolutionnant les principes fondamentaux de la biologie, le Dr Gernez a provoqué l’enthousiasme dans les plus hautes instances médicales françaises et internationales. Non seulement, il a démontré la fausseté du postulat selon lequel les cellules nerveuses ne se divisent pas après la naissance, mais il a découvert que les cellules cancéreuses pouvaient être éliminées de l’organisme avant qu’elles n’atteignent, après division cellulaire, le nombre de 1 milliard (atteint au bout de huit ans), c’est-à-dire au moment où elles sont détectables dans l’organisme. Signalons qu’il fut le premier à cette époque à souligner l’importance des cellules souches dont on nous rabat les oreilles depuis quelques années. Une étude de l’INSERM de 1971 a montré que le protocole du Dr Gernez expérimenté sur des rats pouvait éviter la cancérisation dans 93% des cas. Mais cette étude n’a jamais été publiée. Le Dr Gernez, qui a demandé sa radiation de l’Ordre des médecins en 1991, a été ostracisé et ses découvertes, dont les applications étaient peu onéreuses, ont été réduites au silence. Les solutions les plus simples ne rapportent rien sur le plan économique et ne sont pas « porteuses » pour l’avenir des trusts médicamenteux. Les idées développées par Gernez remettaient un peu trop en question « certains dogmes pasteuriens » et les remises en questions totales ne sont pas de mise dans le domaine médical. Nous aurons l’occasion d’ici peu d’évoquer le protocole suivi pour une protection cellulaire efficace. Soulignons que ce dernier est très proche de ce que les adeptes des médecines naturistes pratiquent depuis toujours. Bernard Burlet Son appel fait en 2012, au crépuscule de sa vie bien remplie d’honnête homme Si vous voulez en savoir beaucoup plus :