Le germanium, un puissant vecteur de santé Photo Wikipédia – Cordyceps, maïtaké, reishi, shiitaké et ginseng coréen ont en commun une substance unique : le germanium organique. On peut dire que le Germanium augmente la capacité d’auto-guérison mais cela va bien au-delà. Surtout, si l’on considère que toute maladie vient d’un manque d’oxygène. Le Germanium, c’est de l’oxygène que l’on peut manger. Souvenez-vous de nos écrits « cancer et oxygène » et du fameux celloxygène, comme incroyable vecteur de santé ! En effet, le germanium fournit rapidement de l’oxygène dans chaque cellule en accélérant le métabolisme. Il agit comme inducteur de l’interféron, ce médicament anti-cancer par excellence. C’est ainsi que chaque organe fonctionne mieux et l’état du patient s’améliore. De ce fait, le germanium va guérir beaucoup de patients souffrant de maladies chroniques souvent incurables. Il a des effets très intéressants sur des maladies comme le cancer bien sûr, mais aussi l’asthme, le diabète, l’hypertension, la rhinite, les névralgies, la maladie de Lyme, l’insomnie, la cataracte. Ce mécanisme se comprend très bien car lorsque l’on améliore l’oxygénation c’est tout l’organisme qui s’améliore de la même façon que pour la circulation sanguine. Ce sont des facteurs de santé essentiels et le Germanium est extrêmement efficace pour cela. Il se lie aux métaux lourds qui encombrent l’organisme comme le cadmium ou le mercure, et les entraîne car lui-même est rejeté intégralement dans les urines, ce qui implique aucune toxicité de sa part. On n’a noté aucun effet secondaire. En résumé voici ce que peut faire le germanium : 1) Il purifie et désintoxique le corps 2) Il stimule le processus enzymatique 3) Il stimule le système immunitaire. 4) Il oxygène et régénère les cellules 5) Il enrichit le sang. Le professeur Asaï, découvreur de la thérapie au germanium C’est le Dr Asaï au Japon qui dans les années 1960 entrevit toute l’importance de la thérapie au germanium organique. En fait, il constata que les plantes dont nous avons parlé en début d’article, révèlent des quantités considérables de germanium. Asaï pensa que le germanium avait un rôle similaire à celui de la chlorophylle et agissait comme un catalyseur. Si nous considérons les caractères semi-conducteurs du germanium, nous pouvons en déduire qu’en plaçant le germanium dans de l’eau et en l’exposant au soleil, il va agir comme une cellule photo-électrochimique qui va électrolyser l’eau en oxygène et en hydrogène. Le germanium est probablement essentiel à la vie des plantes. Par ses observations Asaï apprit qu’en Corée le cancer était très rare. Sachant que les coréens mangent beaucoup de racines de ginseng, il se rendit en Corée pour se procurer des racines de cette plante. Il les analysa et quelle ne fut pas sa surprise d’y détecter de grandes concentrations de germanium Le centre de la racine peut d’ailleurs contenir un pourcentage de germanium absolument fantastique. C’est donc à partir de cette expérience avec le ginseng qu’Asaï commença à s’intéresser aux plantes orientales. Pourquoi le ginseng de Corée ainsi que le cordyceps, le reishi, le maïtaké, le shiitaké contiennent-ils du germanium en aussi grande quantité ? Il y a certainement un facteur géographique qui contribue à la richesse du sol. L’analyse faite par Asaï provenait d’un ginseng cultivé dans la province de Chinshan en Corée, région qui possède une terre spécialement fertile et propice à la culture du ginseng. Le ginseng requiert une terre d’une fertilité exceptionnelle et aucun engrais chimique ou insecticide ne doit être utilisé. Or le ginseng n’est jamais attaqué, jamais malade, et il est fort possible que le germanium joue un rôle plus qu’important dans la croissance de cette plante. Dans son livre, Asaï parle d’une plante –la wisterra Knob- qui souligne l’importance du germanium dans la vie des végétaux. Lorsque cette plante est attaquée par des virus, son mécanisme de défense lui permet de former des protubérances. D’autres plantes, comme par exemple le bambou vert qui pousse dans la province de Yalrushima (île dans le sud du Japon) réagissent de la même manière et possèdent des propriétés anticancéreuses reconnues. Il est certain que le ginseng serait plus vulnérable aux attaques des virus et bactéries s’il n’était pas riche en germanium. Il est de plus en plus difficile de cultiver du ginseng, car les récoltes appauvrissent le sol en germanium ; auparavant, il fallait attendre 20 ans pour produire une nouvelle récolte de ginseng car le ginseng absorbe les éléments chimiques de la terre en grandes quantités ; Actuellement, les producteurs de ginseng vont chercher de la terre et des fougères dans les montagnes environnantes. Les précieuses expériences d’Asaï Asaï s’était livré à une expérience pour démontrer le rôle que joue le germanium dans la croissance du ginseng « Au milieu du mois d’avril, j’ai semé des graines de ginseng dans 2 caisses de bois, remplies de terre, de graines de ginseng. J’ai arrosé l’une d’elles avec de l’acétate de germanium dilué. Après six mois, il y avait une différence de 20 cm de hauteur entre les deux caisses. Celle qui avait été arrosée avec le germanium contenant du ginseng mesurait 30 cm tandis que le ginseng contenu dans l’autre n’en mesurait que 10 cm » Asaï décida de vérifier le pouvoir bactéricide du germanium. Il fit l’expérience qui suit : Il enferma des bactéries et des virus dans des tubes contenant de la gélatine colorée au bleu de méthylène. Sur cinq tubes, deux renfermaient du germanium. Dans les tubes ne contenant pas de germanium, les bactéries et virus agirent en décomposant le bleu de méthylène et celui-ci étant oxydé, il prit une couleur grise semi-transparente. Par contre, les deux tubes contenant le germanium restèrent bleus. On peut donc affirmer que le germanium avait pris soin d’éliminer bactéries et virus qui s’y trouvaient. D’autres travaux menés par l’Institut Asaï ont prouvé l’activité antivirale du germanium en agissant sur l’interféron. Des plantes aux qualités anticancéreuses Peu de temps après son voyage en Corée, Asaï entendit parler d’une variété rare de fougères qui pousse dans les montagnes de la région de Shiznoba au Japon. Dans cette région, les personnes atteintes de cancer se soignent avec cette plante. Non sans difficulté, il réussit à se procurer cette fougère, et, en l’analysant, il découvrit que sa teneur en germanium était incroyable. Citons Soljenitsyne écrivain russe qui s’est guéri du cancer avec un champignon alors qu’il se trouvait interné en Sibérie ; ce champignon est le premier de la liste qu’il donne dans son livre « Le Pavillon des Cancéreux » Asaï désigna tous les champignons orientaux comme le reishi, le cordiceps, le shiitake comme fabuleusement riches en germanium. Peut-être est ce là le secret de leur force de guérison …. Asaï se lance dans la fabrication du germanium organique Le docteur Asaï du Japon a connu un succès considérable avec son fameux Geroxy 132, qu’il présentait un peu comme une panacée et on peut aisément comprendre pourquoi : les résultats étaient bien souvent spectaculaires. Pourtant, même si l’on vente les vertus du germanium, il s’avère qu’à partir de sa forme purement minérale, il est extrêmement toxique. Cependant, un germanium même organique peut devenir toxique s’il est trop dosé et s’il ne peut être éliminé par voie rénale. Des cas de toxicité sont apparus dans la prise de germanium, certes pas toujours aussi fiable que celui de Asaï, et même il y a eu quelques personnes qui sont décédées. Actuellement, le germanium même organique n’est pas en vente libre et certains comme le Dr Jurasunas le regrette ; Cependant, on oublie un peu vite le fait que cette substance se trouve naturellement dans les plantes précieuses que nous avons citées. Un laboratoire se lance dans la fabrication du germanium catalytique Il y a vingtaine d’années, les dirigeants du laboratoire Catalyons eurent écho des remarquables qualités thérapeutiques du germanium, mais aussi des problèmes que rencontraient les personnes qui prenaient le produit dosé à plusieurs dizaines de milligrammes. Ce fut une idée géniale qu’ils eurent de proposer un germanium non seulement organique mais aussi catalytique. C’est-à-dire à des dosages ioniques donc très petits. Là, ce n’est plus l’aspect quantitatif qui l’emporte, c’est l’aspect qualitatif, celui même qui fait toute la différence dans les plantes orientales….. Dès lors, actuellement, tout le monde peut prendre ce type de germanium qui ne présente aucune contre indication et qui s’avère être l’un des plus puissants vecteur de santé que nous connaissions. Roland Reymondier Conseiller en produits de nutrition NB : Vous pouvez retrouver les champignons Cordyceps, maïtaké, reishi, shiitaké chez notre Partenaire Diet Horizon. et ce Ginseng coréen chez Api Nature.