Cette pollution qu’on nomme électromagnétique Photo Linky – Robin des Toits – Sympa ! Nous allons tous y avoir droit : Les compteurs Linky d’ERDF, censés réduire la consommation d’énergie, seront 35 millions sur le territoire français d’ici 2021. Ce déferlement fait peu de cas des inquiétudes sur le respect de la vie privée et sur les impacts sur la santé dus aux rayonnements électromagnétiques. D’ailleurs qui, actuellement s’inquiète vraiment des conséquences morbides de ces installations ? Linky pourrait aller très loin dans la nuisance. D’après certaines associations, il impacterait jusqu’à notre santé à cause des rayonnements électro-magnétiques. « Le problème avec le CPL, c’est qu’il ne doit être utilisé que sur un réseau de distribution conçu à cet effet avec du câble blindé. Ce n’est absolument pas le cas des installations de distribution électrique standards dans les habitations », alerte l’association Robin des toits, très inquiète d’une exposition « permanente, jour et nuit, sans que l’organisme ne trouve plus aucun lieu de repos pour une récupération ». Les radio-fréquences en question, dont les taux d’émission respectent les normes en vigueur, sont classées comme « potentiellement cancérogènes pour l’homme », par l’Organisation Mondiale de la Santé. Selon les expertises effectuées par le Criirem, elles atteignent 0,2 à 0,4 volts par mètre à une distance de 50 centimètres à 1 mètre. Soit un niveau inférieur aux recommandations du Conseil de l’Europe (0,6 V/m). « Si le compteur est à au moins un mètre des personnes, il n’y a pas de problèmes », résume Pierre Le Ruz. La mise en place de câbles blindés (?) permettrait de réduire cette distance à 30 ou 40 cm, selon lui. La pollution électromagnétique n’est en aucun cas nouvelle….. Quand on consulte actuellement des sites internet, il semble bien que de nouvelles pathologies voient le jour par la présence d’un univers « d’ondes » d’autant plus pernicieuses qu’on y baigne dedans sans en ressentir les effets tout de suite. Le fait est que, contrairement à ce que l’on pense, le phénomène n’est pas nouveau…. Déjà dans les années 1960 un jeune médecin, le docteur Jean-Pierre Maschi, formule une hypothèse audacieuse pour l’époque : La maladie qu’on désigne sous le nom de sclérose en plaque n’est pas due à un virus et n’est pas une maladie « auto-immune » comme on le laisse croire, mais bien due à une forme de pollution qu’on peut désigner comme électromagnétique. « Voici les conditions dans lesquelles j’ai acquis la conviction de l’absence de virus dans cette affection neurologique. De 1945 à 1953, j’ai effectué mes études à la Faculté de Médecine de Paris. Ancien Externe des Hôpitaux de Paris, je suis également titulaire de quatre diplômes : Etudes Spéciales d’Hygiène et d’Action Sanitaire et Sociale, Médecine du Travail, Médecine Tropicale et Médecine Aéronautique. En 1955, je me suis installé médecin généraliste à Tuléar, ville située sur la Côte Sud-Ouest de Madagascar, où j’ai exercé jusqu’en 1962 avant de me réinstaller à Nice en 1963, ville dont je suis originaire. Durant l’année 1965, j’ai commencé à réaliser que, dans les pays industrialisés, les conditions de vie et la prolifération des machines, des appareils de toutes sortes, produisant ou utilisant le courant électrique, étaient capables de perturber l’environnement électrique, par les ondes électromagnétiques qu’ils émettent, et d’occasionner une nouvelle forme de pollution que j’ai alors appelée pollution électromagnétique. C’est en me basant sur les résultats de travaux scientifiques et sur des observations personnelles que j’ai eu l’idée de cette pollution. La Biométéorologie est la branche de la science qui étudie les effets des phénomènes météorologiques sur les organismes humains. Depuis des siècles, on savait que certaines personnes atteintes d’affections rhumatismales, cardiaques ou nerveuses, accusent une accentuation de leurs troubles avant un changement de temps. De telles personnes étaient considérées comme des prophètes du temps. C’est seulement au début du XXème siècle que des physiciens, des médecins, des météorologues mirent en évidence une augmentation importante des aéro-ions positifs avant les orages. C’est à ce moment que ces malades accusent une accentuation de leurs troubles. Quand il pleut, quand il neige, il y a une production importante d’aéro-ions négatifs, ce qui entraîne une amélioration des troubles. De telles personnes sont dites, maintenant, météoro-sensibles. La deuxième étude sur laquelle je me suis basé, concerne les enquêtes épidémiologiques sur ces mêmes affections, rhumatismales, cardiaques et nerveuses. Elles mettaient, et mettent encore en évidence, qu’elles sont de plus en plus fréquentes dans les pays industrialisés et relativement peu répandues dans les pays en voie de développement. De telles affections sont dénommées maladies de civilisation. Mais, c’est en prenant connaissance du livre « Les atteintes oculaires déterminées par les accidents électriques » du Docteur Philippe De Saint Martin, publié en 1957 par le Comité médical d’Electricité et de Gaz de France, que j’ai été convaincu de l’existence d’une pollution électromagnétique et de ses effets sur les organismes humains. Ce livre de 170 pages, écrit par un ophtalmologiste, traite essentiellement des accidents oculaires mais une quarantaine de pages est consacrée aux « Complications tardives de l’électrocution ». On peut y lire ceci : « L’électrocution accidentelle peut entraîner la mort et le nombre de tels accidents est grandissant avec la multiplication des appareils électroménagers. Les travaux effectués depuis plusieurs dizaines d’années ont mis en évidence les manifestations secondaires et tardives de l’électrocution. On a pu ainsi constater, chez de tels accidentés, l’apparition de troubles au niveau des principales fonctions de l’organisme ». Après cette introduction, l’auteur étudie les différents troubles dont voici l’énumération: 1/ Appareil cardio-vasculaire : extrasystoles, fibrillation auriculaire, syndrome angineux, infarctus du myocarde, crises de tachycardie… 2/ Système nerveux : hémiplégie accompagnée d’aphasie, épilepsie, paraplégie pure ou sensitivo-motrice, névralgies cervico-brachiales, sciatiques, syndromes parkinsoniens, céphalées, cas dont l’aspect clinique évoque la Sclérose en Plaques, troubles psychiques et neuropsychiques. 3/ Altérations osseuses avec décalcification diffuse ou construction osseuse avec ostéophytoses. Les complications tardives de l’électrocution sont, essentiellement, des affections rhumatismales, cardiaques et nerveuses considérées comme des maladies de civilisation, sensibles aux changements de temps, donc à des phénomènes électriques. Après avoir lu ce livre, j’ai immédiatement pensé que ce que le courant électrique peut provoquer en une fraction de seconde en traversant le corps humain, la pollution électromagnétique pourrait le faire progressivement en plusieurs années. J’ai alors formulé une théorie selon laquelle la pollution électromagnétique provoque une lente et progressive électrocution des organismes humains qui, suivant les individus et en fonction de facteurs génétiques, de prédisposition, peut jouer un rôle déterminant dans les affections rhumatismales, cardiaques et nerveuses. Il faudra souvent une électrocution infime durant » Si l’on en croit Jean-Pierre Maschi nous sommes passés depuis 1968 de 1 million à 2,5 millions de scléroses en plaque. A partir de 1965, il est le premier à dénoncer un nouvelle forme de pollution qu’il appelle pour la première fois « pollution électromagnétique. Pour lui, le doute n’est pas permis, c’est une forme d’électrocution lente qui va miner la santé de millions d’individus en les faisant sombrer dans une multitude de troubles multifactoriels allant du cœur, aux rhumatismes et surtout la sclérose en plaque. A partir de 1967, il met au point une thérapie. Les résultats sont étonnants. Il soulagera durant des décennies plus de vingt mille malades et ce malgré sa radiation à vie du conseil de l’Ordre des Médecins en 1968. Il est amnistié en 1990 par le président François Mitterrand et réhabilité en 2002 par le président Jacques Chirac. Quelques conseils pour essayer de vivre mieux, même sous cette mauvaise influence. Le plus souvent possible, aller se ressourcer dans la nature pour se mettre au contact des éléments naturels et être en prise avec l’élément « terre » D’un point de vue pratique: 1- Mettre, le plus souvent possible, les pieds nus au contact de la Terre. 2-Éviter de porter des chaussures dont les semelles sont des isolants électriques (caoutchouc, crêpe). 3-Éviter de porter, de jour comme de nuit, des vêtements en fibres synthétiques. 4- Passer ses poignets et ses mains sous l’eau froide, plusieurs fois par jour. 5- Prendre fréquemment des douches généralisées ou seulement les jambes. 6- Bains de mer, bains de piscine, rééducation en piscines, cures de thalassothérapie. – «Maschithérapie»: (mis au point par ce médecin génial) Minéraux placés dans un sachet en tissu et maintenu au bas de la colonne vertébrale par une cordelette nouée autour de la taille: Baritine, Blende, Feldspath, Galène, Graphite, Quartz, Spath, Talc, tous secs et pulvérisés, et mélangés en quantités égales. Nota Bene: Pour ceux qui ne peuvent avoir simplement un contact direct avec la terre, il suffit de prendre une plaque métallique en cuivre et de la relier par un fil de cuivre à une bonne prise de terre. Ainsi, c’est fait ! En mettant les pieds nus sur la plaque de cuivre ainsi reliée à la terre, vous serez, vous-même, «à la terre»! Post Scriptum: Ce très simple protocole est 100 % naturel, d’une totale innocuité. Ne nous y trompons pas, les ennuis rencontrés par le docteur Jean-Pierre Maschi doivent nous faire comprendre que les intérêts économiques liés à la distribution de l’énergie électrique sont tels que toute tentative de faire le jour sur les pollutions electro magnétiques sera toujours écartée de manière à ce que ceux qui peuvent en souffrir soient traités comme des hystériques, des hypocondriaques voir des affabulateurs. C’est la triste réalité actuelle ! 1 Docteur Jean-Pierre Maschi – Chroniques d’un… par contrelapenseeunique Dossier réalisé avec Roland Reymondier et Bernard Burlet Pour en savoir plus : Cette vidéo du Professeur Belpomme