La Macrobiotique : « La santé, physique, mentale, spirituelle !» 1ère partie Photo Wikipédia – Depuis quelques années, on n’écrit plus grand-chose sur ce mode d’alimentation qui a eu un si grand rayonnement dans les années 1960-70-80. Pourtant, malgré tout ce qui a été écrit, il reste beaucoup d’interrogations sur son origine et sur les personnages exceptionnels qui eurent pour tâche de diffuser un mode d’alimentation qui influença fortement la génération post 1968. Il est très étonnant de constater à quel point ce mode de nutrition a été mal interprété et combien il souffre de préjugés qui ont limité sa diffusion. La macrobiotique reste dans nos « mémoires collectives » mais il paraît opportun d’apporter tous les éléments qui actuellement peuvent montrer à quel point ce mode alimentaire est totalement un bienfait pour les nouvelles générations. La macrobiotique fut en un tout premier temps une approche philosophique basée sur l’observation du principe de la dualité dans le monde des phénomènes biologiques et le jeu de l’alternance du Yin et du Yang. La recherche fut celle du Principe Unique du philosophe Sakurazawa qui adopta le nom de Georges Ohsawa. Ce dernier, au début du siècle dernier, avait vu disparaitre toute sa famille au Japon, décimée par la tuberculose. A l’âge de 16 ans, il fit une rencontre décisive qui le sauva. Un médecin traditionnel japonnais lui évita une mort certaine par la pratique de l’alimentation traditionnelle de ce pays. Guéri, il s’appliqua à propager un idéal de vie saine par une alimentation dont l’équilibre se faisait sur les principes de l’antique médecine traditionnelle de l’Extrême Orient. Michio Kushi, son digne successeur, connut un succès important aux Etats-Unis non seulement par son activité de conférencier mais sa capacité à diffuser une thérapie alimentaire qui jusque là était réservé à quelques « initiés » et malades abandonnés par la médecine classique. La macrobiotique fut tout à la fois portée aux nues par les multiples guérisons qu’elle engendrait et fortement attaquée par un ensemble de personnes qui non seulement ne la connaissait pas mais la trouvait inadaptée et même carencée. Pour ce premier volet, nous sommes allés à la rencontre de la personne qui, actuellement, par ses écrits mais aussi son vécu auprès de Georges Ohasawa puis Michio Kushi, est celle qui fait le plus autorité en ce domaine….MONIQUE LEBRETON. Dans cette rencontre, l’aspect philosophique souvent gommé dans de nombreux écrits, est largement souligné dans les écrits de Monique Lebreton, qui a voulu se confier à nous. Ohsawa, tout comme Ellen White en un autre temps, partait du principe suivant lequel on ne pouvait trouver le sens profond de la vie terrestre qu’en ayant des bases physiologiques saines pour que puisse s’établir en chacun de nous une santé physique, mentale et spirituelle. Laissons la place à Monique Lebreton qui nous donne ici un témoignage de la plus grande importance : Petite histoire de la Macrobiotique (Georges Ohsawa le précurseur) « Comme les élèves de Georges Ohsawa se font de plus en plus rares (âge oblige) et que j’ai eu le grand bonheur d’être de suite intégrée par lui dans le petit groupe de ses plus anciens disciples dès mon apparition en 1964 au camp d’été de St Médard de Guizières et aussi de connaitre assez bien Michio Kushi lorsqu’il passait en France, de traduire aussi deux de ses livres –« le diagnostic oriental » et « Le Banquet de la guérison » ainsi que des articles pour la revue « yin-yang » je me permets d’intervenir pour expliquer un peu ce qui a différencié l’enseignement donné par ces deux hommes hors du commun en notre époque. De toute évidence, le but qu’ils ont l’un et l’autre poursuivi n’a pas été le même et l’œuvre qu’ils ont accompli en ce monde dans le temps et l’espace qui ont été les leurs n’a pas été la même non plus ! Un philosophe qui se mêle d’alimentation Georges Ohsawa a été avant tout un grand Maître Eveilleur de jugement de ses disciples qu’il tente inlassablement de conduire au-delà du visible à l’EXPERIENCE –REALISATION de notre véritable identité ou Etat d’Etre (c’est-à-dire au-delà des paires d’opposés apparents de notre monde perçu avec nos organes des sens donc de façon duelle et « virtuelle ») appelée « SATORI » dans la tradition japonaise et qu’il désignait comme « LE JUGEMENT SUPREME » et son tableau des 7 étapes du jugement très instructif – surtout si l’on étudie en corrélation avec les sept niveaux de la manifestation de la Conscience Créatrice appelée par lui Infini et Expansion Infinie- en tant que notre monde et au-delà. Je peux dire aussi que lorsqu’il s’installe en France avec Lima son épouse vers la fin de 1956, il touche et s’adresse presqu’exclusivement à des personnes d’un certain âge qui ont pour la plupart encore hérité d’une forte constitution yang et aussi d’un solide bon sens. Son approche peut donc être alors radicale et il est indéniable que les « fruits » engendrés s’ensuivirent très rapidement et pratiquement sans erreurs ni problèmes majeurs qu’il tente d’ailleurs de prévenir en ne cessant de répéter « ce qui est efficace est également dangereux ». « La théorie sans la pratique est inutile mais la pratique sans la théorie (la compréhension) est dangereuse » « Ne soyez pas des phonographes » « Apprenez à juger par vous-même » etc….Il tente donc de stimuler et éveiller en chacun un changement – élargissement de compréhension de la Vie en profondeur et sans procéder intellectuellement en dévoilant seulement des connaissances que de toute évidence son auditoire n’est pas prêt à entendre valablement. A cette époque, on peut dire je crois, qu’il est le premier en Occident à introduire le sens de la relativité et de l’impermanence dans la vision- perception matérialiste « statufiée »par la logique linéaire et formelle de notre monde- d’où découle une interprétation limitée et erronée de la VIE … Les seules personnes ou presque qui prêtent une oreille attentive à ses dires et plus encore acceptent de tenter la pratique alimentaire qu’il introduit corrélativement (cours de cuisine de Lima) avec l’enseignement du Principe Unique sont majoritairement de très grands malades plus ou moins abandonnées par la médecine symptomatique officielle… Une alimentation qui régénère et qui guérit Dans un tel contexte et sans nul doute aussi, par tempérament, on remarque que, dans sa propre vie, les expériences extrêmes n’ont pas manqué. A 16 ans déjà, il est le seul de sa famille à avoir survécu à la tuberculose alors que sa mère et ses quatre frères et sœurs soignés alors tout comme lui par la médecine occidentale décèdent tous l’un après l’autre… Et plus tard, on trouve un autre exemple avec son expérience en Afrique à Lambaréné auprès du célèbre Dr Schweitzer où il n’hésite pas à se donner volontairement la grave maladie des ulcères tropicaux afin de lui prouver véritablement la justesse de ce qu’il avance en lui montrant de visu comment et pourquoi une telle maladie peut certes se développer alors qu’elle peut aussi spectaculairement disparaitre en inversant les causes et processus de son apparition ! Il sera malheureusement chassé comme un imposteur et devra s’enfuir avec Lima en traversant l’Afrique dans les pires conditions, mais néanmoins et comme prévu il s’en sort et en lui il n’y a plus aucune peur ! Pour toutes ces raisons, son approche restera radicale, paradoxale tout en étant la plus générale et impersonnelle possible : la participation à ses conférences et camp d’été est ouverte à tous et c’est ainsi qu’il doit convaincre vite mais sans trop heurter un auditoire toujours prêt à lui tourner le dos illico-presto ! Il doit donc obligatoirement présenter aussi « des fruits » autrement dit des guérisons incontestables et ultra rapides. Il y réussit merveilleusement ! Un camp des miracles Les guérisons se succèdent et ce sera même le premier camp d’étude et de pratique de la Macrobiotique organisée pour lui à Chelles en 1957 et qui sera baptisé « Le camp des Miracles » Au fond, il reste un Maître oriental. Il enseigne certes, sous la forme de conférences générales, mais ce n’est pas sans procéder par petites touches bien ciblées, personnalisées et subtiles à discerner, pour stimuler notre compréhension individuelle quand il le juge utile car il a de plus la capacité de pouvoir lire à livre ouvert en chacun ! (Inutile de préciser que bien souvent cela déclenche des réparties et réactions fort cocasses entre lui et un ou une de ses élèves…) A titre d’exemple, je peux relater une petite histoire qui m’a concernée. En 1965, il passe tout le mois de juin à Paris et il réunit le petit groupe de ses plus proches disciples tous les soirs au Centre Ignoramus (c’est comme cela qu’il a appelé ses centres) pour un travail intensif –En fait, il est déjà décidé à changer de plan de vie très prochainement, qui disait-il, afin d’être plus utile et par allusion il nous prépare. Comme toujours, il nous demande aussi de répondre par écrit à certaines de ses questions – il en rédige 200 appartenant pour la plupart au domaine scientifique encore inexploré ou inexpliqué ou choisies parmi des koans zen- Lorsqu’au cours de ses conférences, il rend les copies, elles sont notées, le barème s’étalant de triple mauvais point à triple bon point. Et Monique fait ainsi à Paris une belle collection de triples et doubles bons points. Le mois suivant, c’est le camp de Port-Manech en Bretagne avec plus de 200 participants où nous nous retrouvons tous… et il repose alors les mêmes questions qu’à Paris ! Evidemment, comme je viens d’avoir « tout bon » ou presque, je ne reprends pas la plume. Les jours suivants, il insiste mais je ne réagis toujours pas… il devient donc plus incisif et dit clairement : « quand bien même vous avez répondu récemment à ces questions, s’il vous plaît, donnez moi vos réponses je les attends. » Je finis par obtempérer ! Bien sûr, je n’ai pas avec moi les papiers réponse de Paris mais il est certain qu’à peu de choses près et avec bonne conscience … je me répète…Vous l’avez peut-être deviné… en retour, c’est une avalanche de triples mauvais points qui s’abat sur moi ! Inutile de le dire, je n’y comprends rien et je reste pendant quelques jours fort dubitative, mécontente et un tantinet critique …. jusqu’à ce qu’il prononce cette petite phrase « Dans le Japon ancien, les samouraïs se devaient d’améliorer leur jugement tous les trois jours et s’ils n’y parvenaient pas, c’est qu’en réalité ils régressaient… » C’est l’éclair. Ce message est pour moi ! J’ai compris, je peux sourire, la détente et la joie reviennent. Je reçois à nouveau en moi et bien entendu, il le perçoit immédiatement. Je reçois à nouveau des triples bons points à mon avis forts immérités car à une question comportant maintes subdivisions, il m’octroie un triple bon point pour chacune d’elles alors que toutes les autres copies rendues le même jour ont été évaluées globalement ! Avec lui, la logique formelle occidentale était bien souvent bafouée ! Tel un maître zen, il savait fort justement aider chacun à dépasser son petit moi mentalo-égotique humain limité et limitatif pour parvenir un jour au dit « Jugement Suprême ! En réalité, il fut un mystique sans le dire, au bon sens du terme de retour à une vision perception unifiant les apparences duelles et opposées de ce monde telles qu’elles sont perçues par nos seuls cinq sens physiques limités, et cela, comble de l’horreur pour les dits spiritualistes, tout en présentant en plus une approche alimentaire ! Un mouvement mondial qui se structure Toujours est-il que lorsqu’il retournera vivre au Japon avec Lima sa fidèle épouse et collaboratrice (ses cours de cuisine sont forts appréciés par tous les participants qui s’ouvrent à la beauté et au raffinement des préparations réalisées et dégustées), ce ne sera pas sans laisser derrière eux une solide structure bien implantée en Europe et aux Etats-Unis et en certains pays d’Amérique du Sud (une petite usine de fabrication des produits spécifiquement macrobiotiques en Belgique, des magasins de vente au détail et des centres d’étude et de diffusion de la Philosophie du Principe Unique et même des livres écrits et publiés dans nos langues !) Pour continuer à superviser de loin ce qui s’y passe et à transmettre plus facilement son enseignement à tous, il envoie aussi chacun de ses meilleurs disciples. Aux Etats-Unis (où il se rendra lui-même plus tard en 1965), ce sont Hermann Aïhara et sa femme Cornélia qui s’installeront sur la Côte Ouest et Michio Kushi et Aveline sa femme à l’Est, à Boston, en créant très vite sous l’œil admiratif de leur maître, des centres de diffusion très performants dans un contexte humain très différent qu’ils découvrent…. On peut dire aussi que dans le temps, ils lui succèdent presque… Non, Ohsawa n’est pas mort du cancer ! En effet, comme maintes fois annoncé et expliqué par Ohsawa, selon la tradition orientale qui était la sienne, il en aurait beaucoup trop dit et dévoilé sur la vérité de la Vie sans qu’en conséquence sa vie sur terre ne soit abrégée. Il ira même jusqu’à dire et écrire qu’il se préparait à partir dans les nuages là où il n’y a nul besoin de nourriture et où nous pourrions toujours le contacter par le radio téléphone de « l’Infini ». Il quitte la scène humaine le 23 avril 1966- jour de la Saint Georges- prénom qu’il avait choisi de se donner pour se faire plus facilement connaître et accepter en dehors du Japon. Et cela sans avoir jamais diminué ses activités alors que depuis plus de 40 ans il n’a besoin que de 4 heures de sommeil par nuit ni fait montre en cette période du moindre signe de maladie donnant même en ce jour là une brillante et ultime conférence à Tokyo, rentrant ensuite contrairement à ses habitudes seul avec Lima à leur domicile. Là, tout se passe très vite et très paisiblement pratiquement sans douleur, si ce n’est un point dans le dos dont il se plaint un peu dans l’intimité aux côtés de son épouse, en s’affaissant doucement sur sa chaise. Inutile de préciser que Lima bien préparée à cet évènement s’opposera alors à une éventuelle autopsie. Quand il sera incinéré trois jours plus tard, telles celles des grands initiés avant lui, ses cendres ne seront pas grises mais blanches ! Je souhaite que ce témoignage mette enfin un terme définitif aux rumeurs qui ont commencé à circuler quelques années après sa mort selon lesquelles il serait décédé d’un cancer ! Pour ma part, en tous cas, l’éventualité d’un ultime départ aussi conscient, facile et serein, est tout simplement enthousiasmante ! Un mouvement qui prend de l’ampleur ! Je reviens à cette époque où aux Etats-Unis, en particulier, le mouvement hippie a le vent en poupe ! Les jeunes Américains en rupture de bon rapport à la société dans laquelle ils vivent et à l’éducation dont ils sont les dépositaires sur tous les plans de la vie y compris le biologique (n’ont-ils pas été élevés pour la plupart à la viande, aux crèmes glacées et aux sucreries presque dès le berceau ) sont de plus en plus nombreux. Comme me l’a expliqué un jour l’un d’entre eux au magasin Kaméo –Centre Ignoramus où j’ai commencé à œuvrer en janvier 1967- ils s’étaient sentis comme emprisonnés dans une sorte de coquille de matérialité si dure et si infranchissable qu’un passage par la drogue avait été pour eux nécessaire avant de pouvoir s’ouvrir enfin à une autre réalité- perception de la Vie (ceci pour les plus conscients d’entre eux, qui ont pu s’apercevoir assez vite des effets néfastes qu’elle engendrait aussi) Ils sont donc les premiers et presque les seuls à prêter une oreille attentive à l’enseignement et à la pratique qu’Hermann et Michio ainsi que leurs épouses sont venus introduire là-bas en vivant au milieu d’eux. Mais, à situation nouvelle – tous ces jeunes sont de constitution beaucoup plus yin ( fragile) que leurs aînés et ils sont de surcroît extrêmement yinisés par l’usage des drogues, ayant bien souvent besoin d’être aidés à sortir de leur addiction. Une adaptation s’impose à la fois dans la pratique alimentaire proposée que pour commencer à faire comprendre la théorie qui la sous tend c’est-à-dire la Philosophie du Principe Unique oh combien générale et instructive. Fort heureusement Hermann et Michio comprennent très vite que l’approche radicale au début souvent ultra yanguisante de leur Maître serait pour eux fort dangereuse… Un jeune drogué bien intentionné vient alors de succomber car il n’a pas supporté des réactions d’élimination trop rapides et fortes. Ce qui n’a pas manqué de déclencher un scandale très médiatisé sur cet immense continent. Ils doivent donc faire face à ces circonstances ce qui témoigne d’ailleurs d’une bonne assimilation de l’enseignement qu’ils avaient reçu de leur instructeur Georges Ohsawa ! On peut comprendre aussi, qu’à cause de la dimension cosmogonique et universelle du dit enseignement, qui éclaire tous les aspects de la Vie tant visibles sur les plans de sa manifestation en tant que ce monde avec tout ce qu’il contient originellement mais interprété grâce à nos seuls sens physiques limités et aussi invisibles dans la dimension énergétique sous-jacente qui le sous tend appelée selon les époques spirituelle, métaphysique et actuellement champ quantique- ils ne peuvent s’abstenir d’induire également une profonde transformation à l’échelle plus globale dans la civilisation américaine de plus en plus déséquilibrée pour ne pas dire dangereusement dégénérescente dans son ensemble. A cet effet les publications macrobiotiques se multipliant tout comme les centres locaux qui sont créés un peu partout sur ce continent et même au-delà, comment Michio s’y prendra-t-il ? » NDLR: Monique Le Breton pointe du doigt le fait que la Macrobiotique est un enseignement des « lois universelles » qui s’applique aussi bien dans le monde visible que nous voyons tous, que dans le monde invisible que les croyants de toutes les époques qualifient de monde métaphysique ou spirituel. En fait, la macrobiotique obéit aux lois fondamentales de l’alternance du Yin et du Yang qui sont les deux bras de « l’univers manifesté ». Cependant, cette philosophie repose sur la conception d’un monde invisible qu’Ohsawa définissait comme le Principe Unique d’où découle tous les phénomènes du monde manifesté. Les croyants désignent ce principe unique, le non manifesté, comme Dieu. Les physiciens quantiques le dénomme « champ quantique ». Notre civilisation actuelle s’est tellement éloignée des lois fondamentales de l’équilibre physiologique et alimentaire que cela rend difficile l’accès à cette dimension. C’est aux Etats-Unis que cela est le plus manifeste. Pourtant, c’est dans ce même pays que de grands changements s’opèrent mais ils ont été amorcés par une refonte de l’alimentation comme la macrobiotique qui par une pratique alimentaire correcte permet de comprendre que « l’homme ne vit pas seulement de pain ». Ce début de dossier sur la macrobiotique peut paraitre un peu ardu pour les non-initiés mais, c’est le témoignage vivant de Monique Lebreton. Nous allons très prochainement vous montrer combien la macrobiotique peut expliquer beaucoup ce que nous sommes devenus aujourd’hui. Nous allons vous dire simplement qu’est-ce-que le ying et le yang, qu’est-ce-que être plutôt ying, plutôt yang et vous verrez combien c’est intéressant pour comprendre ce que sont les individus « modernes » et en quoi ça peut être utile pour faire évoluer notre alimentation et donc notre santé. Nous le saurons lors de notre prochain volet de ce dossier passionnant ! Roland Reymondier Ecrivain, conseiller en produits de nutrition