Le mystère de l’eau Le 26 juin 2012 disparaissait quelqu’un de remarquable dans le domaine de la connaissance de l’eau et de ses qualités fondamentales pour le corps humain. Il s’agissait du physicien et chercheur, vrai connaisseur de la médecine chinoise : Luu Dang Vinh. « L’eau aurait une mémoire », c’est cela qu’aurait découvert le professeur Jacques Benveniste. En fait, il n’en fut que le révélateur car c’est bien avant lui que Luu Dang Vinh avait fait pour son épouse cette formidable découverte : Les mécanismes d’action des dilutions homéopathiques s’expliquent par une signature électromagnétique dans l’eau dont on se sert comme support. Cette thèse fut soutenue par son épouse en 1974 pour son doctorat en pharmacie. Mais c’est en fait à son mari Luu Dang Vinh que revient la paternité de la découverte d’une mémoire qui s’inscrit au sein de l’eau. L’observation est la suivante : à partir de la douzième centésimale, en homéopathie, il ne peut y avoir trace de matière : pourtant, le solvant c’est-à-dire l’eau garde l’empreinte du produit. C’est cette observation qui est légitimée par l’observation avec le spectroscope Rahman-Laser du jeune physicien de l’époque. C’est en fait une signature vibratoire d’énergie pure que l’eau a gardé en mémoire. Il constate aussi une différence de fréquences électromagnétiques entre les différentes solutions où les dilutions ont été effectuées. Cela corrobore une activité biologique différente en fonction d’une dilution donnée. Le professeur Luc Montagné a repris, depuis déjà quelques temps, les travaux de Jacques Benveniste : A voir absolument ce reportage de France 5 en soulignant le courage de Luc Montagné ! On peut dire que Luu Dang Vinh était visionnaire. Depuis cette expérience faite en laboratoire pour expliquer par quel principe l’homéopathie est active, Vinh se passionne alors pour l’eau et sa qualité. Vinh Luu : une passion pour la qualité de l’eau Lors d’une visité que j’effectuais chez le couple Vinh et Claudine Luu, j’eus droit à une vraie conférence dans laquelle il désignait comme problème numéro un de l’humanité : celui de la raréfaction d’une bonne eau potable et l’utilisation néfaste que l’on pouvait en faire. Par exemple, la congélation : La structure moléculaire de l’eau contenue dans les aliments congelés a perdu « son aspect vivant » La congélation telle qu’elle est pratiquée actuellement suspend complètement et irréversiblement toute activité métabolique. Elle transforme toute l’eau de l’aliment en glace. L’eau cristallisée ne présente plus la vie. Cependant, elle favorise la vie des micro-organismes qui accélèrent le processus de décomposition. La perte de la valeur nutritionnelle de la nourriture est reliée à la perte de la valeur biologique de son eau. On constate aussi que ce procédé accélère la vie des parasites humains. Autre exemple, l’irradiation : Son succès repose d’une part sur l’engouement du public pour la technique scientifique comme facteur de civilisation et d’autre part sur la peur des pollutions chimiques. Il permet de détruire certains micro organismes, des insectes, mais surtout de retarder le processus de germination (pommes de terre, ail, oignons etc…). Il faut aussi souligner que c’est tellement pratique pour le transport des denrées alimentaires tout autour du globe, au détriment de l’écologie !… L’irradiation détruit inéluctablement la qualité biologique de l’eau dont est composé l’aliment. L’eau, le principal élément nutritif et structurant des cellules Essayons de définir ce qui fait la qualité d’une eau pour le corps humain : Qualité chimique : – le moins de produits chimiques minéraux, matières en suspension et substances radio actives possibles. – une valeur de PH légèrement acide. – une grande résistivité (action qui s’oppose au passage d’un courant électrique) Qualité bactériologique : -le moins de bactéries, virus et parasites possibles (l’eau est dans les pays sous développés un facteur incroyable d’épidémie et même pour nous en cas de guerres) Qualité physique – posséder des clusters (groupes de molécules d’eau) les moins nombreux et les plus petits possibles. Si l’eau ne possède que peu d’énergie (conduite en réseau rectiligne et sous pression comme dans nos villes), les molécules d’eau s’assemblent en macro-clusters de 70 à 80 molécules. Alors que si l’eau possède beaucoup d’énergie (eau de torrent de montagne, eau), les clusters formés n’ont pas le temps d’excéder la taille de 2, 3, voire 4, 5 ou 6 molécules. On parle de micro-clusters. Une eau ayant des micro clusters a un fort pouvoir hydratant et se montre immédiatement assimilable et hydratante tandis qu’une eau (comme celle du robinet) à macro clusters sera bien moins « assimilée » donc moins liée aux molécules rencontrées. – posséder une valeur RH 2 inférieure à 28 (eau réductrice) – cette eau devra posséder le plus d’énergie et de forces de capillarité possibles. Elle devra non seulement bien pénétrer nos cellules mais en ressortir « chargée de nos déchets ». Cela n’est pas concevable pour une eau des villes. Qualité sensible : – le moins d’informations extérieures négatives possibles comme les ondes électromagnétiques, paroles ou images violentes, musiques violentes – le plus de messages d’amour et de gratitude, de musique classique et d’harmonie Louis Claude Vincent, le génie de la bio électronique de l’eau Tout de suite après la seconde guerre mondiale, Louis Claude Vincent en tant qu’ingénieur hydrologue, gérait plus de 400 villes et communes de France. A cette époque, cette gestion consistait à remettre en état les réseaux et à les réparer. Les moyens d’alors manquaient. Cependant, poussé par une extraordinaire curiosité peu commune, il constata que dans beaucoup de régions de France les maladies cardiaques, les cancers et maladies dégénératives augmentaient ou régressaient en fonction du réseau utilisé et de la qualité de l’origine de l’eau fournie. Ainsi par exemple pour la ville de Riom dans le Puy de Dôme la source qui alimentait la ville avant 1930 avait été remplacée ensuite par la source de Volvic : la mortalité avait sensiblement diminué. Très vite, il s’intéressa aux valeurs physico-chimiques de ces eaux et à leur composition chimique PH RH2 et résistivité. Cela se passait en 1949. Les mesures portèrent sur des centaines d’eaux distribuées. Ainsi, on pu déterminer des régions où la qualité des eaux était très bonne comme l’Auvergne aux eaux d’origine volcanique à faible minéralité, la Bretagne aux eaux granitiques ou bien les Vosges et certaines régions des Alpes comme Grenoble. Par contre, des régions comme le Bassin parisien ou le Nord aux sols calcaires ne donnent pas des eaux de grande qualité. Malheureusement, plus de soixante ans plus tard les bonnes eaux granitiques de Bretagne sont polluées par les épandages de lisiers dus aux élevages intensifs de porcs et volailles – pollution essentielle aux nitrates- C’est ainsi que certaines sources qui commercialisaient leur eau de source d’excellente qualité en bouteilles ont dû mettre fin à leur activité. La bio électronique face au monde médical Cependant, Louis Claude Vincent ne s’en tient pas là. Voilà, qu’à partir des années 1950, il va appliquer ses mesures bio électroniques en milieu médical. Officiellement, la seule mesure pratiquée était le pH du sang et de l’urine, et de manière classique, c’est-à-dire à l’air libre. Les valeurs obtenues étant toujours de 7,35 à 7,40, il ne donna pas suite à son projet. Il fut mis en garde par certains de ses amis des risques de poursuite par l’Ordre des médecins. De fin 1951 à juillet 1953, il fit différents séjours au Liban où, avec l’aide de la faculté de médecine française (qui dépendait de la faculté de Lyon) et de l’Université américaine, il put faire de nombreuses mesures bio électroniques dans les établissements hospitaliers qui dépendaient de la faculté et de l’université. Notons que ces mesures étaient faites en aveugle et que l’interprétation de ces mesures a permis ensuite d’établir les premiers graphiques. C’est ensuite en mai 1954, lors d’une exposition « Techniques de la Santé », que l’épouse du Président de la République, Mme René Coty, s’intéressa aux résultats obtenus au Liban. Quelques jours après, M. le Président René Coty, invita M. Vincent à voir M. Louis Marin, ministre de la Santé publique et directeur de l’École supérieure d’anthropologie, et lui confia des cours sur la bio électronique de 1955 à 1960 à la faculté de médecine de Paris. Cette exposition a permis un départ officiel de la bio électronique et, la fit connaître dans le monde entier. Dans les années 1960, les mesures sur le sang et l’urine furent complétées par les mesures sur la salive. » Les quatre terrains, suivant la bio électronique : Partant de deux mesures Ph et Rh 2, Vincent brossait quatre terrains différents dans le domaine de la santé : 1 : milieu acide et réduit : favorable à la construction et l’épanouissement de la vie. 2°:milieu acide et oxydé favorable aux champignons, mycoses et qui se caractérise par une alimentation dévitalisée 3 : milieu alcalin et oxydé favorable à la prolifération des virus et toutes les maladies dégénératives de notre civilisation. 4 : milieu alcalin et réducteur favorable au développement des maladies infectieuses La désaffection du milieu médical pour la bio électronique Malgré les cours prodigués à la faculté de médecine de Paris, le monde médical n’a jamais vraiment porté crédit aux découvertes de Vincent d’autant plus que ces dernières portaient atteintes au dogme Pasteurien. Pensez donc, il avait eu l’impudence, lors de l’une de ses dernières conférences, d’intituler celle-ci : « de l’imposture pasteurienne des vaccins… aux thromboses, cancers et toutes maladies dégénératives modernes ». En fait, les constatations qu’il faisait, c’est que les médicaments dans leur ensemble modifient le terrain dans le sens de l’alcalinisation et de l’oxydation et il en va de même pour les vaccins. Cela ne pouvait que remettre en question des décennies de pratique, elles mêmes très influencées par les laboratoires pharmaceutiques.». La qualité de l’eau vient en priorité de celle de nos aliments quotidiens Quelle est la structure de l’eau contenue dans un repas servi dans un « self service » d’une restauration rapide ? – Cuisson à l’eau javellisée ou ozonée – Pain blanc fait à partir de la même eau – Viandes aux hormones – Œufs de poules « industrielles » – Légumes de culture intensive Nous constatons, chiffres à l’appui, que tous les facteurs modernes de production artificielle des aliments sont responsables de perturbation de leur caractéristiques physico-chimiques et, par voie de conséquence, de leur action nocive sur notre milieu intérieur. Ces perturbations se font dans le sens de l’électronisation positive, de l’alcalinisation et de la baisse de la résistivité. Elles apportent leur concours journalier dans la déviation générale du terrain vers les maladies. Tous les aliments sont constitués à 70-80% d’eau. C’est déjà là que se pose le problème de l’eau. L’hydratation cellulaire s’effectue principalement dans nos aliments et non dans l’apport d’une bouteille d’eau emportée sous le bras « au boulot ». En fait, ce n’est pas la quantité d’eau qui doit être prise en compte dans notre journée quotidienne mais sa qualité, sous toute ses formes (bouillons, soupes, salades, légumes cuits ou crus, vin, et boissons quotidiennes) Si l’on prend en compte les éléments nocifs qui dénaturent notre eau quotidienne à savoir : – La pasteurisation des aliments – La congélation. – La lyophilisation – L’irradiation des aliments – La cuisine à micro onde – L’eau du robinet – La culture intensive des légumes et fruits. Les 1 litre et demi d’eau consommés dans la journée se traduisent pour le français moyen par : – Un bol de café noir ou de thé le matin = 1 /2 litre – Le bol alimentaire du midi=1/2 litre – Le bol alimentaire du soir=1/2 litre Cependant, le réel problème qui se pose est : Consommons-nous une eau vivante ou bien une eau morte ? Les conditions bio électroniques d’une bonne santé A la naissance, notre PH est légèrement acide. Chez l’adulte en parfaite santé, il se situe à 7.1 7.2 , le RH 2 à 22-23 et la résistivité dans une fourchette de 190-230 ohms/cm/cm2 Ainsi, on considère qu’on se trouve en présence d’un terrain favorable aux cancers dès que le PH est supérieur à 7,4 et un Rh 2 supérieur à 24 En fait la question qui se pose est la suivante : Notre alimentation quotidienne apporte-t-elle la VIE ou la MORT ? Que pouvons-nous faire ? Tout d’abord, adoptons une alimentation type régime anti-inflammatoire avec une prédominance végétale…. Deux eaux de table se distinguent pour leurs qualités bio électroniques : – L’eau Montcalm ph 6.8 rh 2 25 et une incroyable résistivité 30000 cm / cm2 – L’eau Rosée de la Reine ph 5.8 rh2 25 avec une tout aussi incroyable résistivité 30000 cm /cm2 Les végétaux riches en anti oxydants possèdent en leur cœur une eau réductrice. Un petit apport de graines germées peut lutter contre l’oxydation… Cependant, traditionnellement, les populations ont utilisé des produits lacto-fermentés avec pour intérêt une large protection cellulaire et une bonne acidité. Miso, tamari, prunes salées sont des aliments correcteurs dans le sens bio électronique positif. Ce n’est pas pour rien que la tradition japonaise faisait prendre un bol de soupe miso tous les matins mais aussi au repas de midi. D’ailleurs, un potage à partir d’oignons et algues marines est extrêmement favorable… Une suggestion : prendre la valeur d’une tasse de thé Sencha ( très haut pouvoir anti-oxydant) après tous les repas à partir d’une eau Montcalm ou Rosée de la Reine ( potentiel bio électronique incomparable) … Et puis, cuisinez avec des légumes frais du marché, achetés auprès d’un producteur que vous connaissez bien ; mangez vivant et ne laissez pas trainer vos préparations… Une autre suggestion : prenez du jus d’herbe d’orge dans un peu de Rosée de la Reine et utilisez le super coktail de jus lacto-fermentés nommé BREUSS ; La encore, la vitalité sera au rendez vous. Nous sommes à la recherche d’une eau parfaite. Ses caractéristiques seraient les suivantes : -aucune pollution extérieure et donc un moindre contact avec notre civilisation chimique. -un faible taux de minéralité et donc une grande résistivité. -une eau bien vivante et bien structurée -une eau ne polluant pas via son embouteillage. -une eau de consommation courante vectrice de santé. -une eau peu onéreuse Nous pouvons dire cependant qu’une eau parfaite est celle qui répond aux réels besoins de notre organisme de manière optimale Une eau possédant de petits clusters s’écoule très facilement et n’encombre pas les capillaires. Elle est source de désintoxication du corps et elle transporte les nutriments ; sa grande surface interne possède une capacité d’absorption phénoménale. Dans notre corps elle s’écoule plus facilement, elle est douce et ronde. Enfin une eau dotée de bonnes qualités physiques n’est pas encombrée par des informations nocives et peut maintenir les liquides corporels –sang et lymphe principalement- dans un état colloïdal optimal. L’eau a pour fonction d’assurer la stabilité de l’état colloïdal des liquides organiques, c’est cela qui fera la différence. « Une eau de grande qualité exempte d’information étrangères, avec clusters de petite taille, grande surface interne, gouttes de petites tailles, force de capillarité puissante, représente le meilleur moyen pour maintenir un état colloïdal stable dans les liquides de notre organisme. Pour cette raison, une bonne eau est la condition sine qua non de la réussite de nombreux processus de guérison (Zerluth et Gienger). « Le corps humain est un ordinateur colloïdal presque parfait. Les liquides du corps ont une nature essentiellement colloïdale » écrit-il. De fait, tous les liquides du corps (sang, lymphe, salive, etc.) sont des systèmes colloïdaux et seul cet état stabilisé est signe de bonne santé. Dans le sang par exemple, le sang sera visqueux si les globules rouges sont agglomérés ; il sera sain si les globules rouges sont libres et séparés les uns des autres. Nous n’en avons pas fini avec le pouvoir de l’eau Nous aurions pu aussi aborder le travail fantastique de Marcel Violet qu’il nous confie dans son ouvrage « le secret des patriarches », vous confier comment il découvrit la puissance vitale que possédait l’eau des orages. Il sut au travers d’un appareillage simple créer une eau qualifiée d’électro vibrée avec des électrodes de différents métaux. Cette eau a un très haut pouvoir thérapeutique. Comment aussi expliquer le pouvoir thérapeutique des eaux thermales, mais aussi des eaux « dites » miraculeuses comme celle de Lourdes ? Des centaines de milliers de pèlerins viennent se tremper dans la source « dite miraculeuse » et parfois comme l’explique de manière ébahie le docteur Alexis Carrel, témoin très cartésien d’une guérison d’une tuberculose abdominale au stade ultime, la guérison est là de manière qui dépasse l’imagination ! Enfin, que dire des eaux du Gange, certes très polluées, mais qui imprégnées de la foi hindouiste, n’affectent nullement la santé des milliers d’Indiens qui viennent y faire leurs ablutions. On aurait pu tout aussi bien parler de Sébastien Kneipp qui mit au point une hydrothérapie puissante et efficace à la suite de sa propre guérison de la tuberculose…. D’autres encore nous disent que le secret de longévité des Hounzas viendrait de l’eau des torrents qui coulent dans les contrées de l’Himalaya. Quoiqu’il en soit, l’eau ne nous livrera pas encore tous ses secrets, car elle est fondamentalement liée à la vie dans son ensemble. Signalons que les laboratoires Catalyons obtiennent des résultats étonnants à partir de la dissolution du métal dans de l’eau purifiée et dynamisée et cela par un procédé unique et original. Vinh Luu, en chercheur original a su adapter pour l’entreprise de son épouse Claudine, les principes d’une eau vitale dans la fabrication de compléments à base de plantes, d’une qualité inestimable. Cependant, nous vous recommandons la lecture de son ouvrage « Connaissance de l’eau » et là vous trouverez des notions certes scientifiques mais très abordables pour chacun d’entre nous sur les mystères de l’eau. Roland Reymondier Ecrivain, conseiller en produits de nutrition