Cancer: aurait-on fait fausse route? Photo Alternative santé – Cancérologue à l’APHP (Assistance publique hôpitaux de Paris), le docteur Laurent Schwartz est l’auteur du livre « Cancer, guérir tous les malades, enfin? ». Médecin et chercheur à l’Ecole polytechnique de Paris, il a constaté les limites des traitements classiques du cancer. Il fait le point dans son livre sur ses recherches de thérapies alternatives et moins agressives pour l’organisme, fondant beaucoup d’espoir sur la combinaison de trois molécules. Mais surtout, il ose dire tout haut ce que beaucoup de ses confrères murmurent tout bas: actuellement on est dans une impasse. Alors, lui, il a eu le courage de sortir du rang et de continuer des recherches entreprises déjà par le prix Nobel de médecine en 1931 le docteur Warburg. à voir: http://www.cancer-et-metabolisme.fr/le-metabolisme-talon-dachille-des-cellules-cancereuses/ Alors qu’est-ce qu’on n’a pas compris ou voulu comprendre ? La lecture des « Sciences et Vie » des années 1960 et 1970 est édifiante: en l’an 2000 le cancer sera vaincu. D’ailleurs, les écrits portant sur les déclarations sur l’éradication de maladies à partir de telle ou telle époque foisonnent dans une presse spécialisée à usage pour le grand public. Actuellement, non seulement les cancers n’ont pas disparu mais ils sont en augmentation par rapport aux années 1960. Longtemps, on a espéré être au milieu du gué et on a entretenu l’idée d’un progrès en marche et malgré les déclarations sans cesse réitérées, on ne meurt pas moins du cancer. Pour les thérapies, on continue les mêmes orientations qu’au siècle dernier: La radiothérapie a été découverte en 1896 et les chimiothérapies anticancéreuses ont été trouvées depuis 1942, de même aussi la chirurgie. Certes, on a affiné les traitements, on en diminue la toxicité, mais comme pour le moteur à explosion, mis au point à la fin du dix neuvième siècle, ils ont très peu varié: l’auto d’aujourd’hui est bien plus performante que celle de nos parents mais pas si radicalement différente, et bien il en va de même avec nos thérapeutiques anticancéreuses.. Certes, on repousse les limites pour chaque fois sauver des vies, mais de vraies guérisons il y en a très peu. On déclare qu’à partir de 5 ans de rémission on est guéri, alors que penser des personnes qui décèdent de leur cancer la sixième année de rémission (comme ce fut le cas pour la mère de celui qui écrit)? Si l’on comprend bien, elles meurent bien du cancer que l’on dit guéri dans les statistiques ? Facile de déclarer qu’on guérit d’un cancer sur deux seulement dans le cadre des 5 années de sursis. Une femme qui fait une métastase osseuse d’un cancer du sein développé 10 ans plus tôt, où la place-t-on dans les statistiques? Cette récidive ne sera jamais prise en compte dans les statistiques ! Actuellement, peut-on prétendre que les centres anticancéreux, comme il y a peu les sanatoriums, se videront de leurs malades ? Officiellement, qui oserait avancer l’opinion suivant laquelle le cancer est une maladie métabolique et qu’on doit l’appréhender non comme une agression cellulaire venue de l’extérieur mais une forme de protection que les cellules ont trouvé pour lutter contre l’asphyxie et le manque d’oxygène. Une vidéo qui remet en cause les certitudes du monde médical sur le cancer : Vous pouvez trouver d’autres vidéos sur You Tube… Roland Reymondier Conseiller en produits de nutrition