-BIEN ÊTRE Actualités Aromathérapie Autres Circulation veineuse Divers Divers santé naturelle Douleurs Herboristerie Maladies chroniques Naturopathie Phytothérapie Pionniers diététique Remèdes ancestraux Tension Thèmes Le fantastique pouvoir d’auto-guérison de la méthode du Docteur Salmanoff Par Bernard.Burlet Le 24 octobre 2019 Image paropsa de Pixabay – Laissons, pour commencer cet exposé, les écrits du docteur Salmanoff donner le sens de sa démarche : « Le médecin ne guérit, c’est la nature qui guérit. Hippocrate l’a proclamé et il avait raison, comme sur beaucoup de points d’ailleurs. On dit que le jardinier fait pousser les plantes, mais ce n’est pas lui qui les fait pousser, c’est la nature ; On dit que le jardinier fait pousser les plantes, mais ce n’est pas lui qui les fait pousser, c’est la nature; lui se contente de leur assurer les meilleures conditions pour qu’elles se développent : il les arrose, les protège contre les insectes, le froid ou le soleil, arrache les mauvaises herbes. S’il voulait tirer dessus pour qu’elles poussent plus vite, il les déracinerait…Mes élèves et moi sommes comme le jardinier à provoquer la guérison comme il cherche à préserver la prochaine récolte. C’est le malade qui se guérit lui-même. Notre rôle se borne à aider l’organisme afin que se déclenche le mécanisme d’auto guérison. Voici qui vous donnera, dès maintenant, une idée de la différence qui existe entre la thérapeutique moderne et la nôtre : la thérapeutique moderne et la nôtre : la thérapeutique moderne fait la chasse aux microbes par les antibiotiques en cultivant en même temps les microbes « résistants » et les mycoses (c’est-à-dire les maladies provoquées par des champignons). Nous, nous cherchons à récupérer les réserves énergétiques de l’organisme humain par les soins hydro thérapeutiques en employant un nombre très restreint de médicaments, en évitant au maximum les médicaments toxiques, déprimants, qui chassent les sensations désagréables mais diminuent les réserves énergétiques. Les bains hyperthermiques maîtrisent presque toutes les maladies infectieuses. Les enveloppements chauds du thorax guérissent toutes les pneumopathies, incluse la tuberculose pulmonaire, dans un délai plus court que les antibiotiques que nous prescrivons rarement, en doses très prudentes, à des intervalles prolongés. La thérapeutique moderne s’adresse seulement aux organes secs, en négligeant la partie humorale des organes et des tissus. Nous sommes préoccupés, pour chaque malade, de pénétrer dans la composition des liquides extracellulaires, en cherchant à redresser leur équilibre acido-basique et minéral en provoquant, par des régimes et par l’hydrothérapie locale ou générale, la répartition normale de ces liquides dans les diverses parties du corps (le crâne, le thorax, l’abdomen et le derme). La thérapeutique moderne est éparpillée en trente doctrines spécialisées. Notre thérapeutique est intégrale. C’est l’homme total qu’il faut soigner. Le spécialiste reste et restera un expert. Nous demandons son avis et son contrôle, mais seul le clinicien universel reste juge. La thérapeutique moderne néglige l’irrigation profonde des organes et des tissus par les capillaires dans lesquels circule 80% du sang. Notre méthode repose sur le rôle énorme de ces capillaires, d’où son nom de capillothérapie. La réalité qu’il ne faut jamais oublier, c’est que l’organisme est mille fois plus intelligent que n’importe quel médecin. » La capillothérapie ce fut la grande trouvaille du docteur russe Salmanoff. Ce qui est stupéfiant c’est de constater que le corps sans répit aucun irrigue par un fantastique réseau de capillaires, les moindres recoins du corps et pour lui nul doute c’est là que se situe la vie. Un homme de taille moyenne possède des capillaire dont la longueur totale atteint 100 000 kilomètres ce qui sommes toutes est phénoménal. Ce qu’avait entrevu Salmalnoff c’est de son point de vue : « Les maladies des capillaires constituent le chapitre le plus important de la pathologie. On a le droit de dire que c’est la base de chaque processus morbide : si on ne s’intéresse pas à l’état et au fonctionnement des capillaires la surface filtrante représente un ruban d’un mètre de large et de plus de 6 km de long, on reste hors des problèmes véritables sur lesquels doit se pencher le médecin pour conserver ou rétablir la santé de ses patients ». Sa vie, ses travaux, ses livres Le docteur Salmanoff est né en 1875 en Russie et il décéda en 1964. Il était diplômé des facultés de Moscou, de Berlin et de Pavie. Il fut le médecin personnel de Lénine et dirigea pour ainsi dire toutes les cures thermales d’URSS. Il dut émigrer d’URSS parce qu’il n’adhérait pas au communisme. Il s’inspira des travaus d’August Krogh qui reçut en 1920 le prix Nobel de Médecine pour ses découvertes sur la régulation neurovégétative des vaisseaux sanguins capillaires et leur capacité à se dilater et à se contracter réalisant ainsi un vrai drainage du corps. Il est l’auteur d’un livre extraordinairement passionnant : Secret et Sagesse du corps. Médecine des profondeurs aux éditions La Table Ronde 1958. Le secret de sa thérapie : Les bains Capillar et bouillotes dont la société Valemis est distributrice mais nous n’avons nullement épuisé le sujet…. A SUIVRE…. Acteur-Nature Twitter Pinterest Facebook