Le manque d’oxygène serait-il une cause de cancer ?

Photo en-dessous La Meije (Hautes-Alpes) – Le cancer est une maladie qui apparait quand la respiration cellulaire devient anormale. En fait, pour avoir des fonctions normales, le corps doit se débarrasser de l’hydrogène. Plus l’hydrogène s’accumule, plus nous avons besoin d’oxygène pour l’expulser.
Les tissus cellulaires demandent de

grosses quantités d’oxygène. Dans le corps, le besoin d’oxygène varie en fonction de l’activité, mais surtout les cellules nerveuses consomment de très grandes quantités d’oxygène. L’anoxie (manque d’oxygène) va être la cause de nombreux troubles organiques, cardio-vasculaires, circulatoires, nerveux, psychiques mais surtout et avant tout cancéreux.

Comment le cancer se développe avec métastases ?

C’est le Dr Staller et ses collègues de l’Université de Bâle qui a fait une découverte importante et surprenante à la fois : la protéine responsable de la migration des cellules cancéreuses est produite en plus grande quantité lorsque les tumeurs sont en manque d’oxygène. On savait déjà que les cellules cancéreuses avaient appris à s’adapter à la carence d’oxygène qu’elles provoquent rapidement autour d’elles.

Les résultats des scientifiques suisses, publiés naguère dans la revue « Nature », montrent qu’elles tirent un double profit de cette privation d’oxygène.

Lorsqu’elles prennent leurs quartiers dans un organe, les cellules tumorales dépensent rapidement l’oxygène disponible. Elles parviennent cependant à surmonter cette asphyxie en développant différents mécanismes de survie, comme la production de nouveaux vaisseaux sanguins. En planchant sur cette adaptation à la suffocation, les chercheurs suisses ont remarqué qu’en hypoxie, les cellules cancéreuses produisent en abondance une protéine réceptrice répondant au doux nom de CXCR4.
Celle-ci a deux effets bénéfiques et complémentaires sur les cellules cancéreuses : non seulement elle participe au remodelage vasculaire pendant l’hypoxie mais, en plus, elle incite les cellules à migrer loin des régions pauvres en oxygène, favorisant ainsi le développement et l’expansion des cancers.

L’étude suisse a également montré que les migrations ne se font pas à l’aveuglette : le CXCR4 entraîne les cellules cancéreuses principalement vers des organes qui produisent de la chimiokine, une protéine attirée par le CXCR4. Ce résultat s’accorde avec une observation antérieure : les cellules tumorales du sein contiennent d’importantes quantités de CXCR4 et migrent préférentiellement vers les poumons et la moelle osseuse, grands producteurs de chimiokine.

Finalement, cette étude alimente un vieux débat : un cancer acquiert-il sa capacité migratoire dès le début ou très tard dans son évolution ?

Les résultats de Staller et de ses collègues permettent d’envisager une prédestination à la propagation des métastases, lorsqu’une grande quantité de CXCR4 a été produite.  (Archive du journal « Le soir »)

Manque d’oxygène = cancer

Pour mieux comprendre cela, il faut revenir aux travaux de Warburg et Donagh, deux prix Nobel de médecine, qui en leur temps avaient démontré cette théorie, prouvée depuis à maintes reprises. Contrairement aux cellules normales, les cellules cancéreuses peuvent facilement se développer dans un milieu pauvre en oxygène. Elles deviennent alors très sensibles à l’oxygène et sont même incapables de survivre à la présence d’un niveau normal d’oxygène.

Les expériences démontrent qu’en augmentant l’oxygénation des tissus cancéreux, les cellules auront moins de résistance en présence d’une attaque du système immunitaire. En fait, on sait maintenant que le système immunitaire a un besoin constant d’oxygène pour se défendre.

Dans un état normal, l’organisme a besoin constamment d’oxygène pour l’épuration organique et surtout pour activer l’énergie cellulaire notamment les molécules ATP au niveau des mitochondries, véritables accumulateurs d’énergie cellulaire.

Nous avons actuellement deux facteurs négatifs qui provoquent l’accumulation de CO2 dans nos cellules et nous privent ainsi d’oxygène et d’énergie : le stress et l’excès dacidité cellulaire.
Ce dernier est d’ailleurs causé aussi par le stress mais surtout par l’alimentation industrielle : café, sucre blanc, alcool, viande, fromages conserves….
En condition normale, les acides sont expulsés par les urines, mais la plupart du temps ils vont s’accumuler et favoriser cette hypoxie (manque d’oxygène)

D’où, l’intérêt de corriger le terrain organique en vu de « désacidifier » le corps comme le préconisait en son temps le Dr Kousmine. Tout d’abord, avec une alimentation hypotoxique et alcalinisante mais aussi avec l’utilisation de citrates alcalins.

Nous pouvons voir aussi toute l’importance de l’utilisation du Bol d’Air Jacquier qui favorise l’oxygénation cellulaire de manière active.

Dans un autre registre, nous insistons tout particulièrement sur la complémentation avec le germanium organique*.

Ce minéral est un fantastique donneur d’oxygène.  On le trouve tout à la fois dans l’eau de Lourdes, le ginseng coréen , la Chlorella, le Ganoderma, le gomphrena et le lapacho.
De même, on peut le retrouver sans aucun danger de surdosage sous forme d‘oligo-élément catalytique.

L’oxygène se combinera avec l’hydrogène pour mieux expulser ce dernier hors du corps. Le germanium organique se transporte dans tout l’organisme stimulant du même coup le système immunitaire.
Dès lors, l’organisme peut réparer les tissus endommagés et également régénérer les organes vitaux nécessaires au rétablissement des fonctions de la vie.

Enfin, on ne soulignera jamais assez combien la vie au grand air (montagne, forêt, campagne, mer ou océan,…est bénéfique pour oxygéner nos cellules.

Acteur-Nature

* On reparlera plus tard sur ce site du germanium.

Pour en savoir plus : A lire aussi « L’oxygène soluble« 

Congrès « AGIR POUR LA SANTE NATURELLE » AIX-LES-BAINS