Le soja : un aliment bénéfique, selon plusieurs études scientifiques Selon une étude américaine publiée dans la revue The journal Cancer Epidemiology Biomarkers and prevention, les femmes qui ont consommé du soja dans l’enfance ont moins de risque de développer le cancer du sein. – Les chercheurs de l’institut national du cancer aux USA ont demandé à 1600 femmes américaines d’origine asiatique de répondre à un questionnaire sur la qualité de vie et leurs habitudes alimentaires depuis leur enfance. Le résultat est édifiant : toutes les femmes qui avaient consommé de la sauce de soja au moins une fois par semaine dans leur enfance avaient un risque de cancer du sein diminué de 60%. – Une autre étude prospective sur un groupe de malades chinois, a montré, sur une durée de suivi moyenne de 4 ans, qu’une consommation d’au moins 17,3 mg de soja par jour diminue la mortalité du cancer du sein d’environ 36 à 38%. Le paradoxe, c’est que ce bénéfice observé s’est fait sur celui de cancers du sein hormonaux-dépendants. Ce fait tend à prouver que, contrairement à ce que l’on entend ici ou là, les phytoestrogènes du soja n’ont aucune incidence nuisible mais tout au contraire sont des facteurs anti cancer importants. Remercions le site lanutrition.fr de Thierry Souccar d’avoir mis à notre disposition une multitude d’informations d’origine internationale sur des études scientifiques fiables concernant le soja. Actuellement en France, une véritable désinformation sur le sujet bat son plein. Cependant, elle permet de passer sous silence le fait qu’actuellement, ce sont les produits laitiers qui sont gorgés d’oestrogènes liés aux hormones qu’on administre aux ruminants et non le soja. Si l’on prend soin de consulter des sites non français comme passeport santé (site Québécois) les isoflavones de soja y sont parés de toute sorte de vertus dont celle de prévenir le cancer. Au tout début des années 80, l’entreprise CELNAT introduisait les produits traditionnels du Japon avec des produits comme le Miso de soja pur, le Miso de riz, le Miso d’orge, produits uniques et vivants et d’une réelle qualité biologique pour la santé. Comme on le sait, ces produits issus du soja sont sources de vitalité et s’inscrivent dans le cadre d’une tradition millénaire dans un pays où le cancer du sein est le plus bas du monde. D’autre part, l’île d’Okinawa, très près du Japon, est reconnue comme celle qui a le plus de centenaires au monde et connaît très peu de maladies cancéreuses et c’est aussi l’endroit où la consommation de soja est la plus importante. Alors, d’après vous, la France serait-elle l’exception internationale dans les bienfaits qu’on peut retirer des produits dérivés du soja ? Quand plusieurs médecins s’insurgent contre la consommation abusive de produits laitiers, certains noient le poisson en désignant d’autres responsables. Le soja est là pour servir de bouc émissaire et cela sans aucune preuve scientifiquement établie… Acteur-Nature