L'eau de mer hypertonique, un trésor de bienfaits !

Image par Dimitris Vetsikas de Pixabay

Ce sera l’occasion de célébrer les qualités d’un des plus grand coureurs cyclistes français » oublié des jeunes générations », triple vainqueur du Tour de France à savoir : Louison Bobet.

Quarante ans après sa mort en 1983, Louison Bobet reste encore la fierté du cyclisme français, du cyclisme breton et d’une ville d’Ille-et-Vilaine : Saint-Méen-Le-Grand. Amoureux de la Bretagne, il porte toujours fièrement les couleurs du Triskell au cours de son existence. Une vie très riche, marquée par une enfance heureuse et un lien indéfectible avec son père. Une carrière professionnelle aboutie, illustrée par un palmarès exceptionnel.

Son après-carrière a aussi été réussie. Une reconversion que beaucoup ratent encore. « C’est pour cela qu’il reste l’un des plus beaux coureurs de tous les temps. Louison Bobet, on pourrait en parler des heures tellement sa vie a été une saga ! », affirme Jean-Paul Ollivier, journaliste sportif.

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Il s’est lancé dans la thalassothérapie après avoir failli perdre l’usage d’une jambe

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Louison Bobet a parfaitement géré son après-carrière. Même si celle-ci est arrivée plus tôt que prévu. En effet, lors d’une opération de bienfaisance, Louison était parti avec son frère Jean à Bruxelles. Sur la route du retour, Jean s’est endormi. « Leur 404 est sortie de la route, près de Meaux. Louison a eu la jambe totalement déchirée, à tel point qu’il est passé près de l’amputation. C’est Raymond Le Bert, son soigneur, qui l’a envoyé à Roscoff (Finistère) où il a découvert les bienfaits de la cure marine, appelée maintenant thalassothérapie », se rappelle Jean-Paul Ollivier.

Il s’est alors lancé dans ce domaine en construisant un centre à Quiberon (Morbihan), avec l’appui du ministre de la Santé de l’époque, Raymond Marcellin. Le succès n’a pas tardé à arriver.
La « CURE MARINE » si le destin en avait voulu autrement aurait pu être LA GLOIRE DE NOTRE NATION.

Si le grand Pasteur n’avait pas à sa manière « pasteurisé » le travail de René QUINTON – Pour les adeptes de LA VIE SAINE la pasteurisation de notre alimentation a été la pire des choses car elle correspond à la destruction de la vie biologique de bactéries saines et viables rencontrées dans nos aliments, elles qui enrichissent notre microbiome intestinal.

Le fameux SÉRUM DE QUINTON aurait pu suffire à neutraliser le développement des bactéries et virus nuisibles dans nos tissus.

On aurait eu l’immense chance, plutôt que d’être vacciné de se voir » Quintonnisé », c’est FOU quand on y pense !

La simple reconnaissance du fantastique POUVOIR THERAPEUTIQUE DE L’EAU DE MER aurait pu changer la vision même des « thérapies autres » et transformer nos approches santé actuelles, en techniques chimiques et chimériques d’un « autre temps ». Jenner, sous Napoléon, prouvait les bienfaits de la « vaccine », époque où les vaches atteintes de la variole semblaient immuniser contre cette maladie les personnes qui les trayaient (d’où le terme VACCIN qui dérive du mot vache).