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Les crises de guérison naturelles

Tout dans la nature suit un rythme selon des cycles qui se succèdent. La maladie, elle aussi a son rythme et ses cycles que nous appelons “crises de guérison”. Nous devons parler de ces crises car elles ont une grande importance dans la guérison et il est nécessaire que le malade et ses familiers non seulement les connaissent mais savent les apprécier à leur vraie valeur.

Image par Mehmet Egrik de Pixabay

Le cycle de la maladie passe par deux phases:

 

1° L’incubation; c’est la période de préparation du mal pendant laquelle s’accumulent les matières toxiques et morbides dans le corps.

2° L’éclosion: c’est une révélation ou manifestation pathologique tangible du mal.

Le cycle de guérison a aussi deux phases:

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1° La Réaction : Il y a intervention de moyens naturels  pour aider le corps à réagir pour se libérer du mal.

2° La Stabilisation: c’est ce qu’on appelle la convalescence; après s’être libéré du mal, l’organisme cherche à reprendre son véritable équilibre.

 

Bien avant que le mal ne se déclare l’incubation peut se voir par l’étude du visage qui permet de dépister la maladie bien avant qu’elle ne se manifeste.

 Dans les approches naturelles il n’existe pas de maladie locale et dès qu’un organe est touché c’est le corps entier qui doit être soigné par des moyens naturels éliminant complètement la maladie.

 Il est évident qu’un pareil traitement n’endort pas le mal mais il l’élimine radicalement dès lors il faut s’attendre à de nombreuses réactions et différentes phases de guérison.

  • Nous pouvons constater au moins deux formes particulières de crises: 

La crise curative

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Explications:

1° L’incubation L’intoxication est alors récente, elle remonte à un ou deux ans maximum et le corps a suffisamment de force vitale pour l’expulser.

2° l’éclosion – Elle est presque instantanée. On tombe malade très rapidement en quelques heures, la température monte et on est obligé de s’aliter.

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Processus de la guérison.

1° Réaction – Pendant un jour ou deux malgré les moyens naturels le mal va empirer puis vient une certaine accalmie; la fièvre commence à descendre et en général entre 3 à 8 jours tout est terminé.

2° Stabilisation– La convalescence est courte, le malade déjà guéri en 8 et 10 jours reprend force chaque jour et manifeste une activité nouvelle. Dans ce cas précis la guérison par les moyens naturels est rapide et jamais aucune rechute n’est à redouter.

Explications:

Au début du traitement l’organisme délivré de l’intoxication provenant d’une mauvaise diète et de médications inappropriées prend, grâce aux soins naturels des forces renouvelées.

Mais ce traitement n’a pas seulement pour but de donner une résistance momentanée il doit débarrasser tout le corps du mal. Dès que le corps le peut, il utilise la force acquise pour commencer l’élimination des toxines. Ce travail de nettoyage exige des forces et va affaiblir par conséquent  davantage le malade.

C‘est à ce moment-là que la plupart du temps on perd confiance et on abandonne la cure salvatrice.

les médicaments et encore moins les vaccins ne risquent jamais de provoquer ces réactions puisqu’ils sont conçus pour endormir le mal ou le déplacer au lieu de l’éliminer.

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Il est pourtant nécessaire voire prudent de bien comprendre et d’être persuadé que ce n’est pas le moment d’abandonner les soins, mais qu’au contraire il faut les intensifier pour aider l’organisme dans son travail d’épuration. Les crises sont la meilleure preuve que le corps agit merveilleusement pour arriver enfin à une vraie guérison.

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Les crises de retour et d’élimination

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Ces crises là sont les caractéristiques des maux chroniques ou de dégénérescence qu’on rencontre beaucoup trop souvent actuellement.
Ce sont des expressions d’un état d’intoxication général et actuellement voulus par l’emploi massif de vaccins et médicaments chimiques en plus d’une malbouffe généralisée.

 

1° L’incubation. Elle est sournoise et très longue elle s’étale sur 10 à 30  années sans faire de bruit et de remous.

Elle est reconnaissable grâce à l’étude du visage et les yeux sont “ Sampaku “ c’est à dire que sous l’iris on perçoit le blanc de l’oeil alors que si cet iris est bien “placé” on ne le voit pas.

 

2° L’éclosion. Elle n’est pas du tout rapide ni si frappante que pour les formes aiguës.


Dès lors parfois la maladie d’un quelconque organe semble se révéler puis s’améliorer. Après des mois d’accalmie un autre mal se manifeste à un autre endroit et ceci va se renouveler jusqu’à ce qu’une maladie bien spécifique se déclare et cette fois ce sera bien plus grave.

 

Maintenant je vais vous révéler que dans un temps plus ou moins long d’application des méthodes naturelles toutes les maladies que l’on a eu dans le passé et qui furent soi-disant guéries, mais plus sûrement étouffée réapparaissent  avec les mêmes symptômes et mêmes phases de crises curatives, ce qui prouve d’une façon indéniable qu’il n’existe qu’une seule maladie qui prendra au fil du temps différentes formes.

Actuellement nous allons assister de plus en plus à l’éclosion de maladies iatrogènes, celles que je désigne comme les crises de retour et d’élimination à cause même d’un affaiblissement général de toute la population par l’abus de la seringue vaccinale.

Celles et ceux qui ont souscrit aux injonctions risquent dans les mois et années à venir à payer l’addition sous forme de symptômes qui, s’ils ne sont pas franchement compréhensibles auront affaibli irrémédiablement le terrain immunitaire de tous.

Roland Reymondier

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