Sereaum : Une eau de mer suivant les indications de René Quinton !

Image par Greg Montani de Pixabay—

Dès 1865, Claude Bernard avait remarqué que » La constance du milieu intérieur est la condition essentielle d’une vie libre« . C’est ce qu’on appellera plus tard l’homéostasie, du grec homeos, identique, et stasis, immobile. Se sentir bien dans sa peau a, en effet, une signification pas seulement d’un point de vue strictement physiologique. Le terrain correspond au milieu intérieur dans lequel vivent et se nourrissent les cellules; ce milieu est lui-même constitué de l’ensemble des plasmas organiques.

Au début du siècle dernier, le biologiste autodidacte René Quinton, né en 1866 à Chaumes-en-Brie est (presque) aussi célèbre que Darwin (théoricien de l’évolution) et Pasteur (roi du vaccin). Le quotidien L’Intransigeant écrit alors : « Qu’est-ce qu’un sérum de Pasteur ? Un sérum particulier à une maladie et contre cette maladie (…). Qu’est-ce que l’eau de mer ? Un sérum qui n’attaque aucun microbe particulier, sinon qu’il donne à la cellule organique la force pour lutter contre tous les microbes ».

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Sereaum, un polychreste, est ce sérum de Quinton avec toutes ses vertus et en plus facile d’emploi.

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Voyons ce qu’en dit le professeur Denis Leroy au sujet des vertus de l’eau de mer :

» L’homme dans sa vie de plus en plus urbaine, dans des conditions de travail de plus en plus anormales, dans l’atmosphère urbaine de plus en plus viciée des corps toxiques volatils, avec une alimentation déséquilibrée, ne reste vivant que par la rééquilibration humorale de ses organes spécialisés: iode pour la thyroïde, glucides et substances azotées pour le foie et le pancréas, chlorure pour les surrénales, calcium pour les os etc…Mais ceux-ci peu à peu, s’épuisent, créant des maladies métaboliques souvent irréversibles.

Les cellules se détériorent peu à peu, se font une nouvelle vie, créent un nouveau type de reproduction, deviennent anarchiques, vivent anormalement au milieu des autres cellules et meurent…La mer peut donc, en nous redonnant les éléments perdus, nous permettre de reconstituer le terrain physiologique indispensable à la vie » .

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