Pour en savoir encore plus sur les plantes dites adaptogènes.

Image par Jan Vašek de Pixabay –

Les recherches en un premier temps furent tenues secrètes et c’est pour cette raison que ces plantes sont encore empruntes de mystère. Au cours de la période 1950-1960, l’idée d’utiliser les plantes médicinales pour augmenter l’endurance et la survie dans un environnement nuisible a été développée, et un nouveau concept d’ «adaptogènes» a été introduit par le toxicologue Nicolaï Lazarev pour décrire des composés qui pourraient augmenter « l’état de non résistance spécifique de stress« . Ce concept a été basé sur la théorie de Hans Selye sur le stress et le syndrome général d’adaptation, avec  trois phases: la phase d’alarme, la phase de la résistance et de la phase d’épuisement.

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La caractéristique des plantes adaptogènes

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Les plantes adaptogènes ont été initialement définies comme des substances qui améliorent « l’état de la résistance non spécifique» au stress, état physiologique qui est lié à divers troubles du système neuro- endocrinien-immunes. Des études sur les animaux et les cellules neuronales isolées ont révélé que ces plantes présentent tout à la fois une action neuro protectrice, anti-fatigue, antidépressive, anxiolytique, et régulatrice du système nerveux central.

En outre, un certain nombre d’essais cliniques démontrent que ces plantes adaptogènes exercent un effet anti-fatigue qui augmente la capacité de travail mental dans un contexte de stress et de fatigue, en particulier dans la tolérance à l’épuisement mental et une attention accrue. En effet, les récentes études pharmacologiques d’un certain nombre d’adaptogènes ont fourni une justification de ces effets aussi au niveau moléculaire.

Il a été découvert que l’activité de stress de protection des adaptogènes a été associée à la régulation de l’homéostasie via plusieurs mécanismes d’action, tels que celui lié avec l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et la régulation des médiateurs clé de la réponse au stress, comme les chaperons moléculaires.

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Exemple de la Rodhiola en extrait de plantes fraîches :

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Actuellement, s’il est une plante qui connait un grand succès, il s’agit de la rodhiola mais de notre point de vue, il ne faut pas voir que le seul principe actif, la rosavine… La rodhiola n’est pas un médicament et, lorsqu’elle est extraite à froid comme pour les jus SALUS, elle devient une herbe de grande activité biologique.

La prise de rodhiola sous forme de cure améliore la concentration, la mémoire, la vivacité d’esprit et le sentiment de bien être général.

La rodhiola combat le stress chronique et la dépression plus que n’importe quel autre élément connu. C’est sa très forte activité « adaptative » aux climats extrêmes qui en ont fait la reine des compétiteurs sportifs du triathlon. Elle régule tout dans le corps, aussi bien le système cardio-vasculaire que le cerveau et, en haute altitude, elle permet une oxygénation cellulaire alors que l’oxygène tend à se raréfier.

La rodhiola augmente la fertilité et en Russie il est courant d’en donner un bouquet aux jeunes mariés. C’est une plante qui convient parfaitement à celles et ceux qui travaillent de nuit ou qui ont des décalages horaires importants…

Elle oxygène le corps, lui redonne force, confiance et paix. On peut légitimement lui décerner le prix du meilleur adapatogène.

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La Rodhiola n’est pas la seule plante adaptogène

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La première vraiment peu ordinaire est le ginseng ( à voir), une autre d’origine indienne est l’ahswaghanda, celle qui nous vient du Pérou est la Maca ( voir dossier), une autre est trouvé en Amérique du Nord dans les lacs d’Orégon ( klamath – dossier) celle qui vient d’Afrique est bien intéressante (dossier spiruline) et une autre est dans notre beau pays ( dossier le thym)

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Les plantes adaptogènes sont de petits trésors de santé à découvrir ou redécouvrir dans votre magasin de diététique préféré.

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Acteur-Nature

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